Pleure ô mon pays bien-aimé comme je pleure sur toi, avant que ne se ferment mes yeux…

Ainsi parle le VIEUX DE LA VIEILLE, solitaire et rendu triste par la situation de l’Algérie à laquelle il a donné ses années de jeunesse. Il pointe du doigt le mal qui la ronge, cause de tous les malheurs actuels. C’est son point de vue, écoutons-le même si on n’est pas d’accord.

Il a le droit d’exprimer sa déception, comme tout Algérien, car il a aimé sa patrie qu’il croit avoir perdue à présent, en tant que Kabyle…

1ère complainte 2ème complainte