Merci à Jean R. pour cette information qui suscite réprobation et inquiétude sur l’éducation transmise à ces fameux “jeunes”, terme généraliste pour ne “stigmatiser” personne. Education et manipulation sont évidemment les responsables de cette situation: outre ceux qui leur bourrent le crane au nom de l’islam, tous les intellectuels inconscients, aux idées soi-disant humanistes, qui sapent en réalité les valeurs de respect dû aux autres et donc aux Français, en premier lieu. C’est le respect de son prochain, fût-il différent, qui est la base du vivre ensemble, dans toutes les sociétés. On ne peut parler d’accueil de l’étrange, si celui-ci arrive avec des sentiments de haine et d’animosité. Or on appris à tous ces “jeunes” qu’ils avaient des droits mais qu’ils n’ont pas de devoirs.

Non, cela ne s’est pas passé en Palestine, en Judée Samarie ou en Egypte.

C’est à Nîmes, dans le Gard, département français, que des musulmans ont attaqué, à jets de pierre, des chrétiens.

Ce n’est pas un fait banal. C’est un pas de plus dans l’intolérance des musulmans à l’égard des autres religions pratiquées en France.

On ne compte plus les nombreuses agressions contre les juifs et les chrétiens, contre les synagogues et les églises catholiques, parce qu’elles ne font plus la une des journaux de France.

Plus grave, encore, il semblerait que le silence des media, sur ces faits de plus en plus fréquents, soit une manière d’exonérer, voire de protéger, les musulmans de leurs actes racistes et antireligieux.

Devrons-nous attendre de subir des émeutes meurtrières comme elles font, aujourd’hui, l’actualité en Egypte pour que les Français prennent conscience du danger qui menace les fidèles non-musulmans ?

La communauté catholique des rapatriés d’Oran en a fait les frais ces jours derniers à Nîmes.

La réunion annuelle des anciens de la Joyeuse Union Don Bosco se déroule à Nîmes, au Sanctuaire de la vierge Notre Dame de Santa Cruz, bâti par les rapatriés d’Oran.(1)

Après une journée de recueillement et de retrouvailles, vers 19 heures, alors que les participants repartaient dans les autocars et véhicules particuliers, «les jeunes immigrés, arabes» de la cité, se mirent à lancer des pierres sur les véhicules qui descendaient du sanctuaire.

La police municipale dont le poste est situé dans ce quartier, a été immédiatement prévenue et les organisateurs de cette réunion ont dû mettre en place une déviation vers un autre itinéraire pour protéger des attaques sauvages, les occupants des véhicules qui continuaient de partir.

La Joyeuse Union Don Bosco et l’Amicale des Amis de Notre Dame de Santa Cruz ont saisi le Préfet de Région pour lui signaler ces actes racistes et antireligieux dont ils ont fait l’objet.

Quant à la presse, hormis un entrefilet honnête paru dans « la Provence », aucune mention n’a été faite des attaques « intifadiennes » (guerre des pierres) qui ont eu lieu à Nîmes contre la communauté religieuse chrétienne.

Nous vous tiendrons informés des suites données par les autorités de la région si celles-ci répondent.

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(1)Dans cette cité qui regroupait, dès 1962, de nombreuses familles de rapatriés, la chapelle qui y a été construite accueille, encore aujourd’hui, les fidèles oranais lors des journées dédiées à la vierge de Santa Cruz dont le sanctuaire a été bâti un peu plus loin, sur les hauteurs.

Mais, le maire de Nîmes ayant autorisé la construction d’une mosquée à quelques mètres, seulement, de la chapelle, il fallait s’attendre à des représailles, de la part des nouveaux occupants de la cité dont la tolérance n’est pas la qualité première.