SOUTENUS PAR L’ESPERANCE

La seconde étape du chemin vers Noël est réjouie par de bonnes nouvelles

C’est une bonne nouvelle, celle qu’Isaïe donne au peuple hébreu. Il le rassure que l’exil est terminé, que l’esclavage, la faim, le travail dur, les vexations sont terminées et que l’entrée dans la Terre promise est aux portes : “Consolez, consolez mon peuple, dit votre Dieu. Parlez au cœur de Jérusalem et criez-lui: que son esclavage est fini” (Is 40, 1-2).

Plus belle encore, surprenante, est la nouvelle de l’évangéliste Marc qui écrit : “Commencement de l’Evangile de Jésus-Christ, Fils de Dieu”. La parole évangile signifie bonne nouvelle. Marc ne l’utilise pas référée à son livre, mais à Jésus-Christ lui-même. C’est Jésus la bonne nouvelle. C’est Jésus la grande nouvelle. La nouvelle qui change l’histoire et sauve le monde. Jésus Christ est notre espérance.

Les anciens prophètes préparent la première venue de Jésus qui s’est réalisée dans l’histoire, avec des sollicitations constantes et pressantes :

“Préparez le chemin au Seigneur” (Is 40,3).

“Préparez le chemin au Seigneur, rendez droits ses sentiers” (Mc 1,3).

Ne restons pas à attendre la seconde venue du Seigneur à la fin des temps, inactifs, indifférents, sans foi, sans enthousiasme. Jésus vient ici, maintenant. Il marche avec nous. Le temps présent est le temps de l’espérance. C’est le lieu de notre réponse à Celui qui vient parce que tous, vraiment tous, nous avons besoin qu’il vienne.

Viens, Seigneur Jésus,

le monde a besoin de toi.

Au monde manque la paix ;

Tu es la paix.

Au monde manque l’amour :

Tu es l’amour.

Au monde manque la vie :

Tu es la vie.

Au monde manque la lumière :

Tu es la lumière.

R. d’Andrea